Deux étape peuvent correspondre, entre la première et la dernière en montagne, celle de Ax-3-Domaine et celle du Ventoux. D'abord la première, tous les favoris sont là, en commandant par Froome et le tenant du titre du Tour de l'avenir Nairo Quintana où le petit colombien finira troisième, car Froome attaque, Porte après son travail prend la deuxième place devant Quintana, et là, comme par hasard, le leader de Movistar prend la troisième position! Exactement le même résultat. Pour la journée de repos, ce sont deux avis de non-départ, un pour douleur gastrique, celle du néerlandais Lars Boom et surtout, le fait de la journée, celui de Ivan Basso, l'italien de la formation Tinkoff, que Contador disait quasiment indispensable en montagne pour cause... D'un cancer des testicules! Mais ne vous posez pas de question avec un rapport sur celui de Lance Armstrong. Sur Twitter, pour le soutenir, comme Froome et Contador ainsi que Nibali: #ForzaIvan . Avec un rythme insoutenable imposé par Movistar (pour Quintana) puis Sky pour (pour Froome) fait passer une très mauvaise journée pour des français qui fêtent leur révolution, avec au ravitaillement, ce que l'on prenait pour une horrible nouvelle la chute de Barguil, en pleure qui repartira après avoir été au sol pendant près de cinq minutes avant de se relever. Puis la montée commence, Bardet, avec Talansky tout d'abord lâché suivi par... Pinot, la personne à laquelle on ne s'attendait pas puis Péraud, les deux seuls qui restent sont un français là depuis le début et un énorme grimpeur affaibli par une chute. Gallopin et Barguil, avec le vainqueur à l'Alpe et à la Toussuire qui seront toutes les deux au programme cette année. Et Froome lâche les favoris un par un, en commençant par Nibali puis Contador et une attaque, comme celle au Ventoux qui enterrera définitivement le colombien. Victoire de Froome avec deux minutes d'avance sur Porte qui est revenu sur ce même colombien. Sky de nouveau meilleure équipe du Tour.
Ce blog fait le résumé de tout le cyclisme international. Retrouez-moi sur Twitter! @Baz38410
mercredi 15 juillet 2015
Étape 9: la BMC, sans surprise
Ils sont la révolution de la superbe épreuve du contre-la-montre, une équipe suisso-américaine au cycles magnifiques, futuristes, énormément aérodynamiques et juste mieux que les autres, qua d on sait qu'ils sont les champion du monde de la spécialité et qu'ils sont les derniers à avoir gagner dans cet exercice et en plus de ça, leur leader Tejay Van Garderen à seulement vingt secondes du Maillot Jaune de Chris Froome. Pour commencer, la Orica Green Edge, les derniers à s'imposer dans cette fonction sur le Tour de France en 2013 sur la Promenade des Anglais quand on a été obligé de la surnommée la promenade des australiens. Un temps vraiment pas terrible, et justifier après les deux abandons de Simon Gerrans, Michael Albasini et un Michael Matthews très loin de son meilleur niveau. En parlant de non-partant, nous avons Luca Paolini positif... À la cocaïne, après une fête (pour une raison totalement inconnue!) et une déclaration: "Que tous ceux qui pensent des choses comme aillent se faire f***e!" Puis commence à partir, après une grande domination de la Lampre des deux champions de France de clm Jérôme Coppel et Sylvain Chavanel et bien d'autre superbe rouleur. Et là, la prise de tête pour IAM, Lampre deuxième. Mais il ne faut pas l'oublier, le final est légèrement en montée et c'est Astana qui part, avec un requin de Messine, en mode volcanique, qui commence à faire exploser toute son équipe, faute de vitesse. Et puis Tinkoff, quand Nibali franchi déjà la ligne. Leaders provisoires. Mais ça ne risque pas de durer! Le team de Contador prend la tête, et à nouveau doublé par celle de Quintana, une Movistar vraiment surprenante qui ne comptera que quatre secondes de retard sur la meilleure équipe du jour, le BMC Racing Team, qui compte plus que quatre secondes d'avance sur la Sky au premier point intermédiaire, et là, la côte de Cannoudal, et puis Froome, Porte, Thomas et Poels. Roche avec un peu de retard, car le cinquième est compté, la Sky finit donc avec 62 centième de retard sur les grands favoris. Un final aussi inoubliable que sur le Ventoux ou que sur l'Alpe d'Huez.
Étape 7: C'est un gorille, on ne l'arrête pas
Évidemment, le favori du jour se nommait Andre Greipel car il était tout simplement maillot vert mais un homme, qui n'a plus gagner depuis deux ans sur le Tour de France, c'était pour la première fois l'année dernière qu'il ne levait pas les bras en s'inscrivant au départ de la très prestigieuse Grande Boucle, après une grosse chute avec le champion d'Australie Simon Gerrans alors qu'il était largement devant, il semblait imbattable, et là, devant sa mère et la ville où il a grandi, la chute qui aurait bien pu être celle de la victoire, avant d'être celle de la victoire d'une vraie pépite, qui lui aussi ferra la première année sans lever les bras faute d'un virus introuvable. Marcel Kittel lève les bras, devant les yeux remplis de larmes du plus grand et du plus impressionnant sprinteur de l'histoire. La clavicule, et là plus aucune victoire. Mais sa dernière victoire, sur le centième, un groupe de six coureurs avec seulement Lars Boom, rien de bien exceptionnel, mais au moins victoire en plus d'un incroyable palmarès sur cette compétition et même dans toutes autres compétitions de cyclisme. Un sprint qui mart dans tous les sens, voilà ce que les millions de français ont vu sur leurs télévisions, mais on a vu ce maillot vert, finalement troisième derrière Sagan et Cavendish pour la troisième victoire de suite pour Etixx-QuickStep et la quatrième victoire sur ce Tour 2015, équipe,classé n°1 aux équipes UCI, maintenant, on saura pourquoi!
mardi 14 juillet 2015
Étape 8: INCROYABLE ! ! !
Aujourd'hui, c'est une émotion intense que l'on a vécu lors de cette septième étape entre la capitale bretonne et la capitale eu cyclisme breton, Rennes et Mûr-de-Bretagne, avec un grand Froome qui savoure, pour la deuxième fois de ce Tour le Maillot Jaune. Et comme hier, une journée très tranquille, des conditions paradisiaques jusqu'à ce qu'il fasse légèrement trop chaud! Beaucoup aurait pu y aller, sur le final où se sont battus deux très grands coureurs, bien qu'un ne soit petit, Cadel Evans gagna la seule étape d'une Grande Boucle fabuleuse en émotion, avec le premier australien sur la plus haute marche du podium au Champs-Élysées face à un double vainqueur espagnol du Tour, et là, Contador lève les bras sans même savoir qu'il s'était incliné face au coureur de la formation américaine de BMC. Depuis, cette image nous reste dans la tête et pour la toute première fois sur le Tour, la photo finish a été utile non pas entre deux sprinteurs mais deux légendes! En ce jour, nous aurions pu une nouvelle fois avoir un Espagne-Australie avec Valverde contre Matthews ou même Gerrans, mais contre toutes attente... Un
France-Irlande, et pas ce match d'argent avec "La main de Dieu" (Ndlr: Référence au titre:du quotidien sportif "l'Équipe" le lendemain de la faute qui a coûte la qualification à l'Irlande en Afrique du Sud) mais bien un duel entre une belle jeunesse française et le filleul e ce qui est peut-être le premier grand coureur irlandais. Ce pays l'a déjà vu gagner sur la plus grande classique ardennaise du monde, Liège-Bastogne-Liège et aussi sur le centième tour à la huitième étape, une journée vraiment folle. Mais pour l'homme qui eu l'audace d'attaquer le meilleur coureurs du monde pour aller lever les bras au sommet du Mûr-de-Bretagne là où des grands hommes ont lever les bras, sur la ligne et au protocole! Alexis Vuillermoz pour la première victoire française sur son Tour en 2015. Deux mots en ce jour, BRAVO et MERCI!
samedi 11 juillet 2015
Étape 6: Teklehaimanot avec le maillot à pois, Froome en jaune
Et oui, Teklaihaimanot, le meilleur grimpeur du Chritérium du Dauphiné, au terme d'une étape avec encore une chute, aucune étape sans chute, même pas la première puisque Michael Cherel a pris la barrière, donc un Tour de France de chute, voilà ce qu'on peut dire de la plus grosse course cycliste du monde! Mais à part ça, non cette étape na pas été spectaculaire, contre toute attente vu le vent qui souffle sur les côtes de la Manche. Mais tout ça jusqu'au dernier kilomètre, ou là, tout est parti en vrille avec une journée à double visage pour la formation Etixx puisqu'un abandon de leur monstre du clm et leur maillot jaune chute en emportant le requin de Messine, Vincenzo Nibali, rien de grave pour le sicilien mais une clavicule cassée pour Martin. Mais de l'autre côté, une attaque, celle de Stybar, ancien champion de République Tchèque et là, il regarde derrière lui et là, il lève les bras car il a compris que ça ne reviendrait pas. Victoire et abandon, voilà les deux visages de cette superbe équipe belge!
mercredi 8 juillet 2015
Étape 5: nous sommes passés par toutes les émotions
Pour commencer, une chute, une terrible chute qui envoie quatre Cofidis dont... Nacer Bouhanni à terre, abandon avec cette cote qu'il avait déjà fêlée à Chantonnay dans le dernier kilomètres de la course où il semblait totalement imbattable avant qu'il ne tombe et voir un certain Steven Tronêt lève les bras, après la ligne, totalement inconscient de son exploit! Puis après, un deuxième sprinteur français par terre avec l'aide de Thomas Voeckler mais voilà, Bryan Coquard est tombé, deuxième sprinteur français à terre pour finalement aller chercher une belle huitième place. Et là, une chute qui ressemble à celle du Mur de Huy en clairement moins spectaculaire que la précédente. Thibaut Pinot été prise dedans mais rien de grave apparemment. Et puis le final commence, avec d'abord les Etixx qui semblaient totalement imbattables avec Cavendish et ce fameux train de Kwiatkowski, Martin puis Renshaw et ce qui est reconnu comme le plus grand sprinteur de l'histoire mais voilà, ils n'étaient pas les seuls, il y avait aussi Degenkolb avec le train qui est surnommé le TGV. Puis le sprint commence et on voit un Greipel plus fort que jamais et qui revient sur des Kristoff, Degenkolb ou encore Cavendish, et là, une remontée encore plus impressionnante, celle de Sagan qui s'incline pour quelque décimètre. Le maillot jaune reste donc Tony Martin et AUCUN changement pour les maillot, le maillot rouge pour Fédriguo.
mardi 7 juillet 2015
Étape 4: interressant... ou pas!
Paris-Roubaix pour la deuxième place avec qui il se battra contre le même champion de Slovaquie. Finalement, cette étape, à part un opeu: de poussière et la chute d'une bonne partie de la Cannondale-Garmin et de l'absence du précédent maillot
jaune Fabian Cancellara, bref, les quatre grands favoris, en plus de Van Garderen dans le même premier groupe. Mais la France, pour laquelle le Tour de France pénètre pour la première fois de cette édition n'a pas vécu une journée magnifique, malgré une sixième et une dixième place de Bouhanni et Coquard et Gallopin et Barguil quatrième et onzième. Mais voilà, Pinot et Rolland n'en finissent pas de perdre du temps, mais à part ça, deux crevaisons et une crise d'histérrie notamment contre un très jeune mécano qui oublie de le pousser sur les pavés, bref, grosse déception dans le clan FDJ après hier et les traumas crâniens. Enfin, une sale journée pour eux, moins pour Bardet, de meieux en mieux car il a eu le culot d'attaquer à 5km de la fin. Barvo au français surtout à cette grande formation belge qui fait coup double avec son incroyable rouleur allemand.
Maillot Jaune: Tony Martin devant Froome et Van Garderen
Maillot Vert: Greipel, Sagan et Degenkolb
Maillot Blanc : Sagan devant Barguil et Quintana
Maillot à Pois: Joaquim Rodriguez
Classement par équipes: BMC Racing Team
Prix de combativité: Jan Barta
Étape 3: deux avions et deux chutes
lundi 6 juillet 2015
Avis de sondage
1 Alberto Contador
2 Quintana
2 Nibali
4 Froome
dimanche 5 juillet 2015
Étape 2: Pas un mais trois vainqueurs
les rebondissements deux cette deuxième étape du Tour, on ne peut même plus les compter.... Pourquoi? Car les bordures, les vents de cotés qui créer des groupes où l'on peut se retrouver sans même le vouloir, et avec ce système, il est clair que le bonheur des uns fais le malheur des autres! De sle début de l'étape, quatre partant pour la première échappée de la Grande Boucle avec Que meneur (FRA, EUR), Barta (CZE, BOA), Foncesca (FRA, BSE) et Clement (HOL, IAM). Avec deux minutes et demie d'Ava:ce, le peloton s'inquiète, c'est donc la Etixx Quick-Step qui prend les commandes. Mais là, avec une toute autre idée dans la tête, la Tinkoff-Saxo de Peter Sagan et surtout d'Alberto Contador que l'écart commence déjà a se réduire. Puis la, le drame commence. Avec une pluie battante, les deux Movistar Valverde et Quintana se font distancés tout comme
Péraud et Rodriguez, avec Coppel et Démare, les deux champions de France. Puis la Sky décide elle aussi de s'y mettre, mais c'est belle et bien la Lotto-Soudal qui juste après la chite de plusieurs Lotto-Jumbo notamment de Kelderman, Van Emden ou encore Gesink, deuxième drame, Nibali, Pinot, Bardet et surtout le Maillot Jaune Rohan Dennis derrière, après toutes les tentatives de BMC pour calmer le rythme en tête, l'écart grandit. Puis le final, les trois derniers kilomètres seront finalement épargnés par le vent et la par le vent et la pluie mais pas par le Gorille Allemand Andre Greipel. Cancellara, grâce au bonifications doublant Mari Cavendish et un super sprint, lancé bien trop en avance s'empare du maillot jaune. Pour les français, on en rétros deux, pas une surprise avec Gallopin et Barguil. Encore un record, cinquième Tour où Greipel s'en ira avec au moins une victoire. Les trois gagnants du jour se nomment donc Contador, Froome et surtout Greipel, car oui, c'est lui qui s'est imposé au terme de cette seconde étape. Pour les quatre fantastiques: Froome (10), Contador (14ième)+14", Nibali (33ième) , +1'23", Quintana (44ième) +1'43"
À noter: une chute sans gravité de Bouhanni, de Rodriguez, de Losada et de Anacona...
Étape 1: l'Australie est de retour!
dimanche 28 juin 2015
Favori ou TRÈS GRAND FAVORI?
jeudi 25 juin 2015
Contador après Nibali
lundi 22 juin 2015
Vincenzo Nibali en mode volcanique.
le premier d'une longue liste sur les favoris de tous les compartiments de ce Tour de France, de cette Grande Boucle, Vincenzo Nibali... Commençons par le commencement, Nibali, au départ connu pour une vitesse et une technique en descente juste impresionante le Sicilien a comme surnom le Squale, ce nom de requin année après année, toujours plus fort, il englouti ses adversaires un par un, tout simplement, et cela ne date pas d'hier! En remportant ce surprenant Tour d'Espagne en 2010 sans gagner une seule étape, Nibali n'est pas que cela , c'est aussi un très grand adepte du Tirreno-Adriatico qu'il remporte en 2012 et 2013. Mais c'est juste après que la Grande Odyssée s'écrit. Victoire sur le Tour d'Italie, rêve de tous les italiens, avant de faire quelque chose d'exceptionnel, La Grande Boucle lui sourit enfin après cette troisième en 2012, la victoire finale après l'abandon de Contador et Froome, sans n'avoir lâcher qu'une seule fois la tunique jaune, enfin c'est gagne, premier italien depuis Coppi à se placer sur la plus haut Larche du podium. Aujourd'hui, il est champion d'Italie, il part comme l'un des cinq grands favoris et tenant du titre du Tour de France (avec uintana, Froome, Contador et Pinot)...






